Qu’est-ce que tu fais de bon ?
Quel retraité ou quelle femme à la maison ne s’est pas fait poser cette question ? Comme si, parce qu’on n’a pas d’employeur pour nous diriger, on ne savait plus quoi faire de nos journées. Pour être dans les normes, il faudrait répondre : je joue au golf, ou, je bricole, ou encore, je passe l’hiver dans le Sud.
Pourquoi faut-il décrire, à des personnes pas trop près de nous, un horaire détaillé de nos journées ? Toute la vie nous rendons des comptes : à nos parents, à nos professeurs, à nos patrons. Peut-on, à la retraite, nous laisser vivre à notre guise ?
D’ailleurs, comme le dit si bien mon mari : « Je me demande où je trouvais le temps de tout faire quand je travaillais. »
Quel retraité ou quelle femme à la maison ne s’est pas fait poser cette question ? Comme si, parce qu’on n’a pas d’employeur pour nous diriger, on ne savait plus quoi faire de nos journées. Pour être dans les normes, il faudrait répondre : je joue au golf, ou, je bricole, ou encore, je passe l’hiver dans le Sud.
Pourquoi faut-il décrire, à des personnes pas trop près de nous, un horaire détaillé de nos journées ? Toute la vie nous rendons des comptes : à nos parents, à nos professeurs, à nos patrons. Peut-on, à la retraite, nous laisser vivre à notre guise ?
D’ailleurs, comme le dit si bien mon mari : « Je me demande où je trouvais le temps de tout faire quand je travaillais. »