Mon arbre
J’ai planté un arbre
Pas un orme, pas un peuplier, ni un érable
Mais un chêne, arbre de grande majesté
C’est au nord que je l’ai planté.
Ce n’est qu’une fine branche
Qui aura des feuilles, des glands et des fleurs
À sa maturité, chose étrange,
Je dormirai sous les fleurs.
Il représente la force, le père, l’homme
Les Romains portaient ses feuilles en couronne
À fleurs monoïques ou « polygames »
Il a tout pour séduire une femme.
Cet arbre m’a été donné
Dans le but de reboiser mon village
Qui depuis cinquante ans a changé de visage
Vie moderne égale coupes effrénées.
J’ai planté un arbre
Pas un orme, pas un peuplier, ni un érable
Mais un chêne, arbre de grande majesté
C’est au nord que je l’ai planté.
Ce n’est qu’une fine branche
Qui aura des feuilles, des glands et des fleurs
À sa maturité, chose étrange,
Je dormirai sous les fleurs.
Il représente la force, le père, l’homme
Les Romains portaient ses feuilles en couronne
À fleurs monoïques ou « polygames »
Il a tout pour séduire une femme.
Cet arbre m’a été donné
Dans le but de reboiser mon village
Qui depuis cinquante ans a changé de visage
Vie moderne égale coupes effrénées.
2 commentaires:
J ' ai toujours plaisir à parcourir votre Blogue.
Bonjour, Solange...
Il faut beaucoup d'humilité pour planter un arbre qu'on ne verra pas vraiment pousser...
Mais tu ne me surprends pas.
Je crois désormais connaître ta sensibilité.
Merci pour cet ensemble.
Bisous pour toi.
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